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  • Photo du rédacteurSwingSilver

Duke Ellington, the Duke



Né en 1899 à Washington, son père lui apprendra la confiance en soi et la prestance, et sa mère lui imposera les bonnes manières : ses camarades d’école le surnommèrent « The Duke ».


Plus attiré par le sport que par la musique, c’est un accident de Base Ball (son visage ayant malencontreusement rencontré une batte) qui poussera sa mère à l’inscrire à des cours de piano.



Duke Ellington

1914, il a 15 ans quand il compose « Soda Fountain Rag ».


En 1917, il lance officiellement sa carrière de musicien.


1923, il crée son premier orchestre : « The Washingtonians » où jouera Sidney Bechet, avant d’être renvoyé pour ne pas s’être présenté à trois concerts consécutifs.


1927, il crée son Big Band : Duke Ellington and his Kentucky Club Orchestra qui deviendra Duke Ellington and his Orchestra


Son succès lui fera côtoyer tous les grands du Jazz (Louis Amstrong, Ella Fitzgerald … et Django Reinhart lors d’un concert au Canergie)


Il jouera jusqu’à la fin de sa vie et mourra en 1974 à 75 ans : son fils reprendra son orchestre, qui sera repris en 1996 par son petit-fils.




Louis Amstrong, Paul Newman, et Duke Ellington

Son invention : le « Jungle Jazz » (utilisation des cuivres en sourdines et imitation des animaux de la Jungle) pour rappeler ses origines.


Sa plus grande curiosité : L’arrangement en Jazz de « Casse-noisette » de Tchaïkovski,

Son plus grand succès : It Don’t Mean a Thing (If It Ain’t Got that Swing).


Sa particularité : composer pour mettre en valeur un de ses musiciens en s’appuyant sur ses points forts (Jeep's Blues pour son saxophoniste, Concerto for Cootie pour son trompettiste, …).




Duke Ellington and his orchestra

Compositions :

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